La Gym aveyronnaise se porte bien !
Rencontre avec Yves Estivals président du comité départemental de gymnastique de l'Aveyron - La Gym aveyronnaise se porte bien !

Quel bilan tirez vous des championnats départementaux qui ont ouvert la saison fin janvier ?
C’était un beau championnat avec une soixantaine de gymnastes qui représentaient tous les clubs du département, à savoir l’Hirondelle Millavoise, Le Gym Club Ruthénois, La Perle de Villefranche, l’Envol de Flavin et Gym Bassin Decazeville. C’est la première fois que tous les clubs sont engagés à ce niveau et je crois que pour les Régionaux qui auront lieu à Auzeville et Blagnac, l’Aveyron sera bien représenté.

Où en est la gym sur un plan plus général ?
L’Aveyron reste stable en terme de licences (ndlr, 1200 licenciés), malgré la mise en sommeil du club de l’Alerte de Decazeville. Cependant avec un club de moins, nous avons maintenu le chiffre des plan cul facile. Je crois que ce résultat est dû à une meilleure structuration des clubs, puisque tous disposent maintenant d’un encadrement professionnel. En ce sens l’Aveyron est le département modèle de la politique initiée par le comité régional FFG.

Quelles sont les prochaines échéances ?
Le championnat départemental par équipes à Villefranche les 3 et 4 mars et la Division Régionale  les 14 et 15 avril à Decazeville. Enfin en mai, (11, 12 et 13) la Finale de la Coupe du Monde de Gymnastique Aérobic et le championnat de France se disputeront à Rodez.

Olivier Dumeaux - Entraîneur démissionnaire de l’Union Villefranche Cahors XIII

Quelles sont les raisons de votre démission ?
Le comité directeur a évoqué un manque de résultats et une perte de confiance des joueurs à mon égard. Un avis que je ne partage pas forcément mais que j’accepte. C’est une énorme désillusion même si c’est le lot des entraîneurs sportifs.

Que retenez-vous de cette expérience ?
Que j’ai découvert un groupe sain, au contact duquel j’ai noué une solide amitié. Contrairement à ce que j’ai pu entendre parfois !

Qu’allez-vous faire désormais ?
Me ressourcer auprès des miens, de mon épouse et mes enfants. Et me consacrer à ma nouvelle activité puisque j’ai désormais en charge deux joueuses de tennis, l’une Russe l’autre Française. C’est une nouvelle expérience pour moi, même si cela ne signifie en rien que je tourne le dos au rugby à treize. Le treize a et aura toujours ma préférence.

Propos recueillis par Alain LATAR